mercredi 28 juillet 2010

Julio Argenté, encore un qui me donne du fil à retordre




J’ignore si, tout comme moi, hier soir, vous attendiez le retour de MarcO et de sa merveilleuse émission T’empêche tout le monde de dormir avec impatience.

M’étant donnée corps et âme à Koh Lanta (où l’absence de Grégoire se fait terriblement sentir, tant pis, on se console avec Kevin), j’avais omis après être retournée sur mon pc pour répondre à la foule de gens qui m’avait parlée, de zapper sur la 6. J’ai donc râté le début et puis soudain, dans un élan de remise en marche de mon cerveau je me suis dit « putain de merde y’a Fogiel », le tout en poussant violemment ma chaise et en sautant dans mon lit pour saisir ma télécommande (j’ai une chambre très fonctionnelle).

Après cette mise en situation, je dirais même cette mise en abîme, je me dois de rentrer dans le vif du sujet, la personne qui m’a poussée à saisir mon clavier lorsque je l’ai vu apparaître sur mon écran : Julien, mon beau, mon blond cendré, mon (oui c’est le mien d’abord) Julien Doré.

Suite à son couronnement de Nouvelle Star et surtout (SURTOUT) à ma vie si mouvementée, j’avais quelque peu abandonné son actualité et tout ce qui le concernait, voyant tout de même sur Myspace (ma nouvelle façon de voir et de penser) qu’il avait cédé à la vague commerciale en sortant son single « Moi Lolita » qui n’a plus aucun cachet depuis que « l’aphorisme, dadaïste de mon doux phénomène » a été évincé des paroles suite à un refus catégorique de Mylène Farmer, cette grosse conne et sa voix inaudible.

Que vois-je donc alors en zappant sur M6 ? Et bien Julien et sa nouvelle coiffure qui me fait penser à une vague sur l’océan pacifique en plein été (comme c’est romantique, bien que je n’ai jamais vu de mes propres yeux l’océan pacifique), coiffure à laquelle j’adhère totalement contrairement à certains sms crevards qui n’ont rien d’autres à foutre que de faire du hors forfait et de niquer leur crédit sms pour lui dire « belle voix mais coiffure à chier » ou encore bien d’autres réjouissances que je préfère ne pas mentionner par respect pour leur auteur.

Julien arborait donc fièrement un petit pull violet sans manche par dessus sa chemise, qui, par contre cette fois-ci, ne lui donnait aucun cachet (je n’apprécie guère les hommes blonds qui portent du violet). Accrochée à chacun de ses mots et à ses lèvres, j’ai repensé à ses débuts au casting de la NS lorsqu’il portait casquette et moustache, et je n’ai pu m’empecher de penser qu’il avait quelque peu saisi la grosse tête, que dis-je, le melon.

Je pense qu’il n’y a pas trop de quoi, connaissant la moyenne d’âge de ses fans. A ses tous débuts, pensant être unique au monde, je me disais que j’étais la seule à qui il plaisait, force fut de constater qu’il a réussi à séduire cette nouvelle vague de petite connes qui aiment les dandy foufous, mince alors Margaux, t’as pas encore tout saisi de la vie, elle a encore foule de choses à t’apprendre (- mais je n’en doute pas).

Oui donc le sujet n’était pas un débat sur les petites poufiasses (je vois déjà venir ceux qui vont me dire que j’en suis une) mais la présence de Julien Doré et de ses yeux bleu océan voire même turquoise dans lesquels je me noie chaque fois, chez mon ami Fogiel (nan j’le connais pas personnellement mais je suis sure que c’est un type bien et super intéressant, bien que trop coincé et qui refuse de danser avec Mya Frye). Présence qui ralluma ma flamme et mon engouement pour cet individu qui se la péte un peu trop à mon humble goût mais qui pourtant ne cesse de m’envoûter.

Je dirais donc que jusqu’à hier, je n’avais regardé son clip qu’une seule et unique fois. Suite à sa vision, je dois avouer que j’ai cédé à la tentation de me procurer par des moyens qui resteront secrets, la version single de Moi Lolita et que je ne cesse de me la passer en boucle tellement la voix de ce type à un effet , tout comme le gingembre (enfin c’est ce qu’on dit), aphrodisiaque.

Julien tu ne cesseras donc de me poursuivre et de me hanter, la coupe de ta barbe sur la photo me rend toute chose, oui, je suis fétichiste des barbes et je me dois de l’assumer. Il paraît que tu sors avec je ne sais pas trop qui, si jamais tu as un créneau entre midi et deux, n’oublie pas que je suis totalement disponible et ouverte à toute proposition (aussi indécente soit elle).

P.S : ta version piano – xylophone – yeux fermés (quel gâchis quand on a les tiens) de Lolita ne m’a fait aucun effet, je suis pourtant dans une période propice à ressentir de vives émotions.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire