dimanche 1 août 2010
Je suis actuellement victime d’une très très très grosse obsession : celle d’habiter seule (enfin seule, tout est relatif, si Frederic Diefenthal veut venir me rejoindre on devrait pouvoir s’arranger).
Actuellement n’est pas le terme exact puisque cette idée me trotte dans la tête depuis bientôt un an. Je rêve, comme d’autres rêvent de rouler en Ferrari, d’avoir un studio frais, fashion, clean, classe en plein coeur de Paris, à proximité de ma future école, à savoir dans le 16e (et ouai…) ou le 15e arrondissement (mon école se trouvant à Boulogne Billancourt, si j’y suis prise).
Certains penseront que c’est une lubie, une crise passagère pour m’affirmer et bien je dirai que non. Car souhaitant concrétiser le plus rapidement ce rêve, j’ai effectué de minutieuses recherches et trouvé le bonheur qui pourrait s’offrir à moi, si seulement quelqu’un se dévouait à débourser pour moi 600 à 700 € mensuellement (je pense utiliser la technique des larmes et du jeu d’acteur sans faille auprès de mes parents, maman j’espère que tu ne liras pas ça avant d’avoir accepté).
La photo que vous voyez au dessus paraît sans doute idyllique, et bien non, cet appartement existe bel et bien et ce en plusieurs exemplaires. Car des individus bienveillants ont eu la charmante idée d’acheter des chambres dans tout Paris et de les retaper dans cet esprit là, qui m’a de suite charmée et envoûtée. Qui plus est, la majorité de ses chambres-studios ont une vue imprenable sur un des monuments tels que l’eiffel tower ou l’arc de triomphe, parfois même les deux.
Preuve en est ici même : LA. (âmes sensibles s’asbtenir, personnellement il m’arrive de passer plus d’une heure à contempler ce site).
Certains se demanderont : pourquoi vouloir habiter seule quand on possède déjà un appartement à 15 minutes de la Gare St Lazare ? (grande nouvelle, oui, le 93 est collé à Paris). Tout simplement car je ne supporte plus de vivre avec la smala. De devoir rendre des comptes à chaque fois, d’avoir ma mère qui range ma chambre à ma place et qui l’aménage à son gout (ne dis pas le contraire) sous prétexte qu’on habite dans un tout petit appart’ et qu’elle veut que tout soit nikel alors que moi je ne m’y retrouve que dans le dawa.
De devoir supporter mes frères. De se gueuler dessus pour un oui ou pour un non. De pas pouvoir faire ce que je veux. Je conçois que ça fait très crise d’adolescence mais j’ai tout simplement envie d’être autonome (seulement au point de vue de l’habitation, pas de l’argent, LOL).
Les premières remarques se sont vues apparaître : « t’es pas foutue d’avoir une chambre propre alors un studio n’en parlons pas, tu sais pas repasser ton linge, tu fais pratiquement jamais le ménage ». Nan mais déconne pas Cathy, c’est un peu faux, quand j’vois que c’est vraiment le summum j’range tout à fond (ou pas).
Ma seule répartie serait de dire qu’en vivant toute seule j’aurai un truc à moi rien qu’à moi et que j’prendrai réellement conscience de la chose alors sachant que c’est à moi j’voudrai que ce soit beau, propre et accueillant. Et je deviendrai alors autonome et maniaque. Alors maman, satisfaite ?
Autrement, si vous avez un appart’ de malade dans Paris qui se situe partout sauf dans le 19e ou le 20e et que vous souhaitez faire une coloc’ l’année prochaine avec une fille invivable, faites moi signe ;) !
mercredi 28 juillet 2010
J’ignore si, tout comme moi, hier soir, vous attendiez le retour de MarcO et de sa merveilleuse émission T’empêche tout le monde de dormir avec impatience.
M’étant donnée corps et âme à Koh Lanta (où l’absence de Grégoire se fait terriblement sentir, tant pis, on se console avec Kevin), j’avais omis après être retournée sur mon pc pour répondre à la foule de gens qui m’avait parlée, de zapper sur la 6. J’ai donc râté le début et puis soudain, dans un élan de remise en marche de mon cerveau je me suis dit « putain de merde y’a Fogiel », le tout en poussant violemment ma chaise et en sautant dans mon lit pour saisir ma télécommande (j’ai une chambre très fonctionnelle).
Après cette mise en situation, je dirais même cette mise en abîme, je me dois de rentrer dans le vif du sujet, la personne qui m’a poussée à saisir mon clavier lorsque je l’ai vu apparaître sur mon écran : Julien, mon beau, mon blond cendré, mon (oui c’est le mien d’abord) Julien Doré.
Suite à son couronnement de Nouvelle Star et surtout (SURTOUT) à ma vie si mouvementée, j’avais quelque peu abandonné son actualité et tout ce qui le concernait, voyant tout de même sur Myspace (ma nouvelle façon de voir et de penser) qu’il avait cédé à la vague commerciale en sortant son single « Moi Lolita » qui n’a plus aucun cachet depuis que « l’aphorisme, dadaïste de mon doux phénomène » a été évincé des paroles suite à un refus catégorique de Mylène Farmer, cette grosse conne et sa voix inaudible.
Que vois-je donc alors en zappant sur M6 ? Et bien Julien et sa nouvelle coiffure qui me fait penser à une vague sur l’océan pacifique en plein été (comme c’est romantique, bien que je n’ai jamais vu de mes propres yeux l’océan pacifique), coiffure à laquelle j’adhère totalement contrairement à certains sms crevards qui n’ont rien d’autres à foutre que de faire du hors forfait et de niquer leur crédit sms pour lui dire « belle voix mais coiffure à chier » ou encore bien d’autres réjouissances que je préfère ne pas mentionner par respect pour leur auteur.
Julien arborait donc fièrement un petit pull violet sans manche par dessus sa chemise, qui, par contre cette fois-ci, ne lui donnait aucun cachet (je n’apprécie guère les hommes blonds qui portent du violet). Accrochée à chacun de ses mots et à ses lèvres, j’ai repensé à ses débuts au casting de la NS lorsqu’il portait casquette et moustache, et je n’ai pu m’empecher de penser qu’il avait quelque peu saisi la grosse tête, que dis-je, le melon.
Je pense qu’il n’y a pas trop de quoi, connaissant la moyenne d’âge de ses fans. A ses tous débuts, pensant être unique au monde, je me disais que j’étais la seule à qui il plaisait, force fut de constater qu’il a réussi à séduire cette nouvelle vague de petite connes qui aiment les dandy foufous, mince alors Margaux, t’as pas encore tout saisi de la vie, elle a encore foule de choses à t’apprendre (- mais je n’en doute pas).
Oui donc le sujet n’était pas un débat sur les petites poufiasses (je vois déjà venir ceux qui vont me dire que j’en suis une) mais la présence de Julien Doré et de ses yeux bleu océan voire même turquoise dans lesquels je me noie chaque fois, chez mon ami Fogiel (nan j’le connais pas personnellement mais je suis sure que c’est un type bien et super intéressant, bien que trop coincé et qui refuse de danser avec Mya Frye). Présence qui ralluma ma flamme et mon engouement pour cet individu qui se la péte un peu trop à mon humble goût mais qui pourtant ne cesse de m’envoûter.
Je dirais donc que jusqu’à hier, je n’avais regardé son clip qu’une seule et unique fois. Suite à sa vision, je dois avouer que j’ai cédé à la tentation de me procurer par des moyens qui resteront secrets, la version single de Moi Lolita et que je ne cesse de me la passer en boucle tellement la voix de ce type à un effet , tout comme le gingembre (enfin c’est ce qu’on dit), aphrodisiaque.
Julien tu ne cesseras donc de me poursuivre et de me hanter, la coupe de ta barbe sur la photo me rend toute chose, oui, je suis fétichiste des barbes et je me dois de l’assumer. Il paraît que tu sors avec je ne sais pas trop qui, si jamais tu as un créneau entre midi et deux, n’oublie pas que je suis totalement disponible et ouverte à toute proposition (aussi indécente soit elle).
P.S : ta version piano – xylophone – yeux fermés (quel gâchis quand on a les tiens) de Lolita ne m’a fait aucun effet, je suis pourtant dans une période propice à ressentir de vives émotions.
dimanche 25 juillet 2010
(il en manque quelques unes, détail qui a son importance)
S’il y a bien un domaine auquel je consacre trop d’argent (et de temps) ce sont, vous l’aurez deviné, les chaussures. Quand je sais que j’ai des sous sur mon compte, j’ai tendance à les claquer n’importe comment et souvent dans des trucs immondes que je ne mets quasiment jamais.
Il en est de même pour les chaussures puisque rien qu’en regardant l’image on peut se rendre compte à quel point la plupart sont horribles et ne vont avec rien. Au lieu d’acheter des basiques comme par exemple des ballerines ou des converse noires, non, moi, je préfère acheter des trucs immettables comme les petites rouges à pois blancs (qui sont abominables, je le conçois) ou encore des trucs multicolores à cœurs (achat bien trop compulsif) qui te niquent les pieds car elles sont super mal faites par des petits enfants transformés en esclaves pour l’occasion dans des pays du tiers monde, j’ai honte.
Il y a à peine encore 2 ou 3 ans, les seuls chaussures que je concevais de mettre n’étaient autre que des baskets de cul terreuse, mes seules références étaient FOOT LOCKER ou bien encore COURIR, réputés pour leur allure féminine, ça va de soi. J’ai voué un culte aux MOSTRO de puma qui sont comparables à des chaussons difformes, aux Air Max de Nike, aux SUPERSTAR d’Adidas (les biens basiques à bandes bleu ciel) et plus récemment aux Asics (je les ai tout de même gardées sous le coude pour mes sorties cyclistes). Aaah j’ai même eu des chaussures de boxe Adidas (alors que je ne fais pas de boxe), je me trouvais super stylée avec mon pantalon coupe droite rentré dedans.
Bref, moi aussi j’ai été une grosse beauf, moi aussi j’ignorais l’existence de la mode et de tous les codes vestimentaires, moi aussi j’ai habité en pleine campagne et fréquenté un collège et un lycée perdu au fin fond de rien.
Je ne dirai pas que ça s’est grandement amélioré mais désormais j’essaie de faire des efforts et de ne plus m’accoutrer tel un bonhomme, d’où ce fort engouement pour les chaussures à moins de 30€ qui apparaissent sous mes yeux dès que je fais un petit tour dans les contrées lutéciennes.
J’ai pas de conclusion.
Juste une question qui me taraude depuis pas mal de temps : comment marche-t-on avec des talons ?
mercredi 21 juillet 2010
Pour m’adonner à ce périple, rien de plus simple. Par ici, pas besoin d’être un canon de la beauté ou de ressembler à Marion Cotillard pour être victime de tels comportement saugrenus. Il suffit d’être un temps soit peu féminine et de gambader dans la rue pour se faire héler ou interpeller.
Je ne sais pas si c’est le destin (de Lisa) qui a voulu ça, mais aujourd’hui, alors que je suis descendue de mon immeuble avec l’idée d’écrire sur le sujet, sans doute au summum de ma beauté extraordinaire (qui n’est pas mise à profit dans ma classe puisque malheureusement dénuée d’homme), je fais quelques pas et deux jeunes gens âgés d’à peine 15 ans se mettent à me dire « hey t’es trop belle ». Comme je suis une grosse conne et que tout le monde le sait et que je ne cesse de le revendiquer, je ne prends pas la peine de leur répondre ou de leur dire merci (ba quoi je vais pas dire merci) et ces deux petits enfoirés, blessés dans leur amour propre, de me répondre « nan mais en fait t’es trop moche mouahahaha ». Ouai genre en fait t’es trop véner parce que je t’ai méchamment crampé, hein mon petit.
Et le type (enfin un des deux) rajoute « on voit ton cuuuuuuul, on voit ton cuuuuuul » en espérant que je me retourne. Je vois pas comment on pouvait voir mon cul étant donné que j’avais un trench. J’ai tout de même douté un instant du fait que j’avais une jupe non des plus longues et puis non, ce n’était pas possible.
Je continue donc mon périple, j’ai encore droit à un « t’es trop belle » de la part d’un scootereux qui attendait devant la pharmacie (je crois que ma frange a un effet hormonal, à moins que ce soit mon vernis rouge que j’ai ressorti du placard). Bref, pas de dépassement de soi de la part de ces garçons qui n’ont pas cherché à faire dans l’original.
Mais, et là ça devient plus intéressant, j’ai relevé moult autres façon d’accoster une nana par chez moi.
Celle qui revient le plus souvent actuellement, que je sois rue de Rivoli ou dans le centre ville de Noisy le Sec, est grandement inspirée d’un certain Tarkan, qui nous avait ravi les oreilles autrefois avec son fabuleux tube interplanétaire nommé « Kiss Kiss ». Si vous vous souvenez de cette merveille musicale, vous n’aurez sans doute pas oublié les fameux bisous qu’on entendait après le « hamlakebidasnaahahaha, hamlakebinasnoubenaahahahaha ». C’est donc ce que l’on peut appeler un dubble poutou.
Et bien maintenant, pour faire comprendre aux filles qu’elles leur plaisent, les damoiseaux utilisent cette méthode fantastique, du moins c’est celle à laquelle j’ai été conviée plusieurs fois. Des mecs tout à fait respectables se mettent soudainement la bouche en cul de poule et use à outrance de ce phénomène, pensant que ça les rend plus séduisants à mes yeux.
On a plus simplement la méthode du « hey silteplé madmoizelle t’as pas l’heure sur toi ? ». Donc je regarde ma montre et je vois que ce pauvre type a son portable dans la main, donc je me vois dans l’obligation de lui répondre « t’as l’heure sur ton portable si je ne m’abuse ». « Ah ouai mais en fait t’es trop belle t’es la plus belle femme du monde fallait que je te le dise ton copain doit être trop content, préviens moi quand il te quitte je t’attendrai ».
Ok ba lave toi les dents au préalable et rachète toi une gueule, on verra ce que je peux faire pour toi par la suite.
Ensuite qu’est ce que j’ai d’autre en magasin ? Le clochard qui vient me demander une pièce de 1 ou 2€, un ticket resto ou un ticket de métro, pour enfin me dire « nan mais c’est pas grave parce que t’es magnifique » (suivi encore une fois de ton copain doit être super content et préviens moi par la suite etc etc …). Tu risques d’attendre un petit bout de temps mon ami seudeufeu.
Plus simplement dans le train (pas dans le métro, j’sais pas pourquoi), y’a le mec qui t’a cramé quand il est arrivé et qui s’assoit l’air de rien à côté de toi, qui doit prendre sur lui pendant 2 minutes parce qu’on voit qu’il se concentre et qu’il devient un peu rougeaud, puis soudain, dans un élan d’audace, te sort avec un air faussement cool, un « euh salut, on peut discuter ». « Ba en fait là je lis, puis j’ai pas trop envie ». « Nan mais c’est pas grave on fait connaissance quand même euh tu vois quoi ».
Dans mon immense bonté je commence à parler au type en question. Il te demande (et ce de manière très précise et hiérarchisée) : ton nom, ton âge, ce que tu fais, le style de musique que t’écoute. Pour prouver à quel point je me désintéresse totalement du mec je réponds à ses questions (il se peut d’ailleurs souvent que je m’appelle Manon) mais ne lui dis jamais « et toi ». Le mec, toujours pas abattu par tant d’égoisme de ma part, continue quand même son petit bonhomme de chemin en ma compagnie, pendant que mon Ipod est en pause et ne demande qu’une chose, reprendre lui aussi la piste sur laquelle il s’était arrêtée. Arrivés à notre terminus, il finit par prendre son courage à deux mains et me dire « et euh sinon t’as un numéro de euh téléphone ? ». « Ouai j’en ai un mais je pense pas que mon copain apprécie vraiment ça ». « Putain mais pourquoi tu m’as pas dit tout de suite que t’avais un copain ». « Ba tu me l’as pas demandé, j’ai pas vu l’intérêt de le dire ». « Rahh mais je t’aurais jamais parlé sinon ». « Ah ba c’est con ». Et le mec se barre limite en courant tellement il s’est mis minable.
Je tiens à préciser que toutes les situations mentionnées ci-dessus se sont déroulées en présence de gros laidrons atteints d’un fort taux de mocheté infâme, ne vous attendez pas à un sosie de Paolo Nutini mais plutôt à un sosie de Faf Larage, et ce en bien foiré (alors imagine ce que ça donne Faf Larage en foiré).
Sinon ce soir, sur le chemin du retour après une dure journée de fac, un vieux d’une 65aine d’années, armé de sa clope, m’a dit « Bonsoir ». Je ne le connaissais bien sûr ni d’Eve ni d’Adam. Voilà une méthode plus classe pour accoster, prenez en de la graine. Simple, clair, efficace et qui n’engage à rien. La preuve, je lui ai pas répondu.
mercredi 14 juillet 2010
Il est une chose dont on ignore l’existence si on ne se fie qu’à mon blog et qu’on pense que mon seul hobby (j’adore ce mot), je dirais même ma seule passion « concrète » est d’admirer les spécimens fort potables (et il sont rares) de la gent masculine. Et bien non, je me dois de briser ce tabou, que dis-je, ce non-dit, dans ma vie il m’arrive de porter un intêret à des choses plus vastes et plus enrichissantes.
Je vais donc vous confier aujourd’hui mon petit secret à moi, outre le fait d’être mélomane (ça dépend le point de vue de celui qui juge ce que j’écoute, bien entendu) je suis aussi CINEPHILE (tout du moins j’aime le 7e art, pour ne pas heurter les pointilleux(ses)).
OUAAAAAAAAAHOU, je l’ai dit. Oui, en effet, je consacre beaucoup voire énormément de mon temps à mater des films. Mais attention, qui dit être cinéphile (!) dit aller au cinéma. Les salles obscures doivent donc me supporter au moins une fois par semaine, armée de ma carte UGC que je ne cesse de cramer. (19,80€ / mois, autant de film que tu veux, c’est vite rentabilisé).
Pour ma part, j’suis très chauvine, j’aime que le cinéma français. Tout le monde dit que le cinéma français ne vaut plus rien et ba moi je dois pas être très difficile, parce que je me contente que de ça. J’aime les acteurs français, j’aime les jeunes talents dont beaucoup disent qu’ils ne valent rien et j’aime les films où il ne se passe quasiment rien si ce n’est des scènes de vie quotidiennes et un peu de mélodrame, j’suis donc ravie de ce qu’on m’offre actuellement (ou presque). J’suis même allée voir « 3 amis », c’est pour dire, il m’en faut peu.
A de rares exceptions près pour aller voir des petites bouses romantiques américaines du genre « Le gout de la vie » ou encore des trucs bien chelous comme « Si j’étais toi » avec David Duchovny (oui oui, il a fait autre chose que X-Files), d’ailleurs je vous le conseille (en V.O), ça m’a bien plu. J’aime aussi les films anglais avec Hugh Grant, je vais pas vous le cacher, j’suis super clichée.
Outre le cinéma, j’ingurgite aussi beaucoup BEAUCOUP de films avec mon portable sur les genoux, j’suis un peu une folle, j’le reconnais (des fois même je rentre du cinéma et je m’installe devant mon pc pour regarder un autre film, c’est une drogue).
Donc là vous vous demandez un peu pourquoi j’écris ça et où je veux en venir, tetete, on y vient, patience my dear, tout vient à point qui sait attendre.
En tant que détentrice de la carte UGC (pour les non initiés, la carte UGC c’est une carte qui te permet d’aller de manière illimitée dans tous les cinémas UGC, MK2 (et même au Grand Rex) de Paris et sa banlieue sans faire la queue puisque t’as une magnifique machine où tu sélectionnes ta séance et ton film (ouah c’est trop fresh up), d’ailleurs vous aurez de fortes chances de me croiser à Bercy Village, à Rosny, à Opéra voire même à Chatelet si vous êtes un parisien cinéphile tout comme moi (je révèle vraiment toutes mes p’tites habitudes, c’est pas bien)), je me tiens informée des avants premières qui auront lieu sur Panam (j’la joue d’jeuns pour changer un peu) et la semaine dernière, j’ai vu qu’il y aurait la before first (j’sais pas si ça existe, j’suis pas non plus anglophone, faut pas trop m’en demander) du film intitulée « Deux vies plus une » avec la pas très charmante mais néanmois talentueuse Emmanuelle Devos, Gerard Darmon (que j’aime plutôt pas mal bien beaucoup) et Jocelyn Quivrin (mon dernier kiff du moment découvert dans Jacquou le croquant au côté de Gaspard puis ensuite dans 99F dans le rôle de Charly le foufou).
Donc moi en tant que fille un peu neuneu, j’adore voir les « stars » en vrai, j’suis trop timide pour aller leur parler (exception faite pour José, accolyte de Franck Dubosc dans les « Pour toi public », j’sais pas ce qui m’a pris j’l'ai vu j’ai su que fallait qu’on se parle, je garde d’ailleurs son autographe bien au chaud) mais j’aime bien savoir que le temps d’une soirée j’aurai été à leurs côtés, c’est con mais c’est comme ça, n’oublions pas que je suis de la génération boys band et que j’ai tendance à être groupie très facilement.
Donc revenons à mon avant première, quand j’ai vu que c’était en présence des acteurs, ni une ni deux je réserve ma place sur eul’ web (accent du nord rien que pour vous) et je suis toute contente parce que je sais que je vais voir des gens connus.
Hier soir je suis donc allée y assister, et là, tadadaaam, il n’y avait ni Gerard Darmon, ni Jocelyn Quivrin. Ma déception fut des plus grandes. Mais pendant l’attente de la diffusion du film, alors que j’étais assise dans mon fauteuil rouge, j’ai eu tout le temps d’apprécier à leur juste valeur les gens présents dans le public. Soudain, je suis persuadée que j’ai vu un personnage qui ne m’est pas inconnu, voire plusieurs, à quelques mètres de moi. Comme je suis très réactive, je dis à ma mamoune, sans retenue : « heeeeeey mais putain c’est Arthur H ». Ma mère étant une inculte, je me sens très seule car elle ne voit pas à quoi ressemble Arthur H. « Mais si, c’est le fils de Jacques Higelin ». Réponse « nan mais Margaux t’es tellement persuadée qu’à une avant première y’a des gens connus que t’en vois partout« .
C’est alors qu’une femme un peu plus cultivée que ma mère (ça lui fera plaisir quand elle lira) s’exclame derrière moi et dans mon oreille « mais si, vous avez raison, c’est ARTHUR H !!! ». Tiens allez prends ça Cathy. Ma mère s’est à son tour prise au jeu « ba dans ce cas là le type chauve là bas c’est Michel Jonasz ».
Je me vois dans l’obligation de lui dire « nan mais là c’est toi qui déconne ». (j’ai oublié de préciser qu’en rentrant dans la salle j’ai failli me cogner dans Valérie Benguigui, encore une fois m’a mère ne l’a pas vue et ne m’a pas crue)
C’est alors qu’arrive la réalisatrice, elle fait son spitch et invite les acteurs et artistes à la rejoindre, et là, surprise surprise, Arthur H et Michel Jojo faisaient partie de l’équipe. Ahhh on reconnaît les physionomistes ! Y’avait aussi plein d’autres beau monde, genre des gens dont tu connais la ganache mais pas le nom (trop intéressant).
Tout ça pour dire, ba euh quoi ? La carte UGC c’est cool, être cinéphile (ou aimer aler au cinéma) c’est bien. J’suis vraiment de plus en plus pourrave pour les conclusions. Le film il était comment ? Ba… c’était un film français.
samedi 10 juillet 2010
Je laisse ma bloguesque’s life à l’abandon, faut vraiment que je réussisse mon année.
P.S : si vous connaissez (ou êtes) un prof des écoles, faites moi signe, I NEED YOUR HELP ! Thank’s (je dois administrer des questionnaires).
Et pour la photo je vous laisse deviner qui c’est et kiffer à quel point il est immonde
lundi 5 juillet 2010
Pour ma part, c’est une chose que j’effectue à raison de 2 heures par jour 4 fois par semaine dans la plus belle ville de ce bas monde. Le métro, c’est plus qu’un simple moyen de transport pour traverser la ville d’un point A à un point B. Non, c’est vraiment plus que ça.
Le trom, comme disent les d’jeuns, c’est un mélange de couleurs, d’ethnies, de langues, d’odeurs, de classes sociales…
C’est un grand voyage dans le monde des gens en fin de compte.
Je dois être bizarre mais je suis une de ces tarées qui adore prendre le métro, sans doute car, à défaut de parler aux individus, j’aime les observer. Je commence mon observation par les chaussures, en général. J’aime calculer les gens en fonction des godasses qu’ils portent, et croyez moi, c’est fortement révélateur. En moins d’une minute je peux te différencier un beauf d’un mec classe et même parfois déterminer la ganache de la personne qui porte telles ou telles shoes à son pied. Le beauf a des baskets sans marque ou des chaussures usées jusqu’à la moelle ou encore des grosses godillots noires avec des semelles énormes qu’il doit sans doute trouver classes, alors que le mec stylé a des chaussures propres, en général noires ou bien des Converse (même si je commence à en faire une overdose) ou bien des petites baskets coquettes assorties à son jean used.
Je remonte alors pour observer le faciès de la personne, et en général ça ne trompe pas. Idem pour les femmes, qui pour certaines font d’énormes faute de goût qui vaudrait à Paris de perdre son nom de capital de la mode.
Ce que j’aime par-dessus tout dans le métro, et là c’est sans doute mon côté autiste solitaire qui parle, ce sont les couloirs équipés de tapis roulants. Celui qui me permet de me faire le plus plaisir est sans doute celui de Chatelet, qui relie ma ligne 11 à la ligne 4, avec un mec horrible qui joue de la guitare au bout avec un ampli qu’il doit mettre au max, le tout en te regardant fixement, dans le but que tu lui fasses un sourire ou que tu lui offre une pièce que t’as durement gagnée en faisant du babysitting avec une folledingue.
Pourquoi j’aime tant ce tapis roulant ? Parce que chaque matin, en descendant du métro pour changer de ligne, mon ipod à la main, je me mets une musique trop excitante genre le moment dans un film à l’eau de rose ou le mec aperçoit la femme de sa vie mais qu’elle, elle le sait pas encore, un son qui a un bon rythme, par exemple Banquet de Bloc Party (là je m’imagine dans « De Battre Mon Cœur s’est Arrêté » (avec Romain Duris pour les incultes)) ou encore Alloway Grove de Paolo ou encore Dancing Shoes des Artic Monkeys OU ENCORE Match Box des Kooks (j’rallongerai la liste quand j’en aurai testé d’autres ou bien que ça me reviendra à l’esprit), et ma vie prend un sens (ou presque) et je me tape un grand kiff (je sais qu’il m’en faut peu, mais moi je me contente des petits plaisirs simples que la vie m’offre).
Trêve de gogolerie (même si c’est 100% véridique) le métro c’est quand même une grande usine pleine de gens, dont beaucoup sont détestables, stressés, cons, moches et qui puent. Du moins sur les lignes que j’emprunte, qui sont loin d’être les plus fresh up de la capitale.
Le pourcentage de beau gosses dans le métro ne doit pas dépasser les 1 pour 200 et quand il y en a un, en général, le regard que je lui adresse ne m’est pas rendu (quelle tristesse). C’est à se demander s’il n’y a que les gens moches qui utilisent les transports en commun .
Pour ce qui est des plans drague, le métro, tu repasseras. Les gens montant et descendant toutes les deux minutes, tu ne peux en général pas jeter ton dévolu sur quelqu’un ou espérer lui adresser la parole, à la différence du RER qu’empruntent les plus gros daleux de la région parisienne puisqu’en général ce sont des longues distances (j’ai testé pour vous et j’ai un palmarès qui me permettrait de pouvoir me la péter, mais ce n’est pas de RER qu’il s’agit ici).
Ce que je déteste par-dessus tout dans le métro, ce sont les touristes PROVINCIAUX FRANÇAIS (et pardon si vous en faites partie, on a pas tous la chance d’être de l’île de france). Ces chaleureuses personnes veulent sans doute faire croire qu’ils savent se repérer dans le métro. A chaque station, avec leur accent du sud à peine dissimulé, ils ne peuvent s’empêcher de dire à leur bonhomme ou bien leur bonne femme « on arrive dans 3 stations… 2 stations… » puis se lèvent bien avant (sans oublier au préalable de se ramasser à la première secousse non prévisible) en pensant qu’ils n’auront pas le temps de descendre et que le métro se refermera sur eux. Les provinciaux je me demande pourquoi ils viennent à Paris, puisqu’ils détestent les parisiens et qu’ils les dévisagent de la tête au pied avec un regard haineux (jaloux ?). Bref, cherchons pas à comprendre.
Ce que j’aime pas non plus dans le métro, et ce qui me fait regretter d’être grande, c’est quand y’a trop de monde, qu’on est tous debout (même si certains s’efforcent de rester sur leur strapontin alors qu’il n’y a plus 1 cm² de dispo) et qu’un nain à cheveux gras puants pelliculeux vient se foutre sous mon nez. Je crois que c’est le seigneur qui me punit parce que je fais plus mes cours par correspondance.
Enfin, ce que je kiffe à mort sa race dans le trom, c’est quand 2 personnes (alors que Paris est une ville immensément immense) se reconnaissent au milieu du tapis roulant alors qu’ils s’attendaient absolument pas à se rencontrer.
En gros, le métro, c’est mon p’tit plaisir quotidien, et vu ce que je (mon père) débourse par mois pour l’emprunter, je lui rends bien.
lundi 28 juin 2010
A faire sur l'air de Creep, des radiohead : 'cause i'm a GEEK, Im a weirdo, What the hell am I doing here? , I dont belong here
En tant que grosse looseuse de la vie, je tenais à crier sur tous les toits que j’ADORE LA TELE REALITE.
Je dois sans doute être, malgré ma culture générale très répandue (et on se demande comment quand on sait à quoi j’occupe mes journées) une des filles qui passe le plus de temps devant sa télévision à regarder toutes les daubes possibles et inimaginables que la real TV nous offre (et encore, j’ai pas le cable ni le satellite, juste occasionnellement la TNT).
Je regarde tout : Koh Lanta, L’ile de la tentation, Loft Story, Pekin Express, Les colocataires, Star Academy, Dancing Show (ouille c’est moche), y’en a tellement que je me souviens à peine de ce que je regarde.
Bref, en ce moment, mon esprit s’est fixé (pour la 5e année) sur la Nouvelle Star, RDV que je ne pourrais manquer pour rien au monde, je dirais même RDV INCONTOURNABLE de ma semaine (avec Sex & The City), refusant même un resto ou un ciné parce que « nan, c’est mort, j’sors pas, y’a la nouvelle star » (geekomanie quand tu nous tiens, très fort, c’est comme un trésor, et ça, ça vaut de l’or).
Et cette année (comme l’année dernière avec Gael pour ceux qui ont connu mon blog dans son passé, car oui mon blog a eu un passé, il a été créé en septembre 2004 et non pas en septembre 2006, il a été supprimé à la suite d’une mauvaise manip, enfin bref vous vous en foutez mais je continue quand même, donc ouai c’était le blog merdique de base avec mes pseudos copines à qui je dis plus bonjour dans la rue et quand elles se croisent elles font genre qu’elles se connaissent pas (vous êtes minables et je tiens à vous le dire maintenant parce que je vous reverrai jamais et que si c’est le cas je changerai de trottoir) bref passons passons) j’ai attrapé un coup de soleil, un coup d’amour, un coup de je t’aime, je te vois toute nue sur du satin, si ça va pas viens me voir demain….
Et merde je divague trop, comme à ma grande habitude.
Donc oui cette année mon coeur a fait BOOM (comme les 5 000 0000 de match.com) pour un mec moche mais TALENTUEUX et qui gère le style de sa race que je kiffe trop.
Ce mec, tout comme mon vilain grand frère que je n’embrasse pas au passage, se nomme Julien et possède une voix kiffante ainsi qu’un Ukulélé qui rajoute un peu plus à la kiffance que j’ai pour lui (ouai je sais j’ai déjà parlé de lui dans un article antérieur, donc si vous avancez un peu vous trouverez une vidéo de son casting où il chante charmamant bien Tété). Donc ce fameux Julien, je le dis et le redis, sera, j’en suis certaine (parce qu’ils ont montré un extrait de la semaine prochaine où il fait pleurer notre grosse Marianne James) sur le Prime très prochainement et qu’il ira sans doute loin (pas grâce à moi puisque je ne voterai pas étant une grosse radine et ayant autre chose à foutre que d’exploser mon forfait pour un SMS surtaxé à la con).
Enfin, et là je suis super heureuse de chez contente (j’ai piqué cette phrase à Elisabeth, j’espère qu’elle ne m’en voudra pas) car cette année, contrairement à l’année dernière où j’étais croc (de la vache qui rit, mais pourquoi elle rit d’ailleurs) de Gael le jardinier horticulteur qui avait toujours le même polo et qui sans fond de teint avait plein de shtaros sur la face, comme TOUTES les meufs normalement constituées qui regardaient la NOuvelle Star, cette année, personne ne sera jalouse de moi ou me dira (alors que ça ne sert à rien) « NAN mais Julien il est à moi, he’s mine, he’s my private property« . Et bien non, this year, personne ne me le dira pour la simple et bonne raison que vous le trouvez tous et toutes MOCHE et que moi noooooon (et là on va encore me dire que mes gôuts sont incompréhensibles mais je m’en bats la rond’).
Suite à tout ce baratin sans queue ni tête, je tenais, l’air de rien, à passer une annonce anodine :
Si tu es un artiste incompris, que tu t’habilles comme un sac mais que d’après toi ta tenue a un lien logique, que tu es peintre, musicien, réalisateur de court métrages que personne ne veut voir, ou bien n’importe quel art du moment que s’en est un, que tu te coiffes à l’as de pique (mon dieu c’est quoi cette vieille expression), qu’au fond de toi tu te trouves stylé à mort, que tu joues de n’importe quel instrument à part la flute traversière, le violon ou la grosse caisse, que tu possèdes un appart (même une chambre de bonne) avec une terrasse sur les toits de PARIS (ville de mon coeur et de ma vie) alors je te rencontrerai où tu voudras quand tu voudras (et on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mort, toute ma vie, sera pareille à ce matin, aux couleurs, de l’été indien) et beaucoup plus si affinités car j’aimerais, dans mes rêves les plus fous, sortir avec un type dans ton genre pour pouvoir me la péter grave d’avoir un mec exceptionnel et incompris du grand public.
Sur ce, si ce mec je ne le trouve pas, sache que si tu es supra riche et qu’en plus de ça tu es généreux et que tu aimes gater ta copine à base de bracelets, de chaussures, de voitures, que papa te donne sans compter et que tu as un appart de 300m² (dans Panam et avec une terrasse) avec des meubles à la LOUIS XIVVSVS et un énorme lit de 2×4m, on devrait pouvoir s’entendre.
A bon entendeur, je t’aime déjà.
mardi 22 juin 2010
J’aime : Ashton Kutcher (mon fantasme toutes catégories confondues), PAOLO NUTINI (autant pour sa musique que pour son physique) la musique (j’écoute de tout), les sorties, les fringues (oui ça fait très cliché), H&M, 70′s Show, Un dos tres, Desperate Housewives, Clara Sheller, PARIS, faire du vélo toute seule dans ma campagne, Prison Break, les Mini Cooper, le mec de la pub boursin, le chocolat et tout ce qui en contient, les lunettes de soleil, les sacs à mains, mon lisseur, les mecs a cheveux mi-longs effilés possédant un Vespa (encore un cliché), Marvin Gaye, DOC GYNECO alias Bruno Beausire (jusqu’à ce qu’il sombre à droite et fasse des cds de merde), mon numérique (en plus de ça je suis matérialiste, tout pour plaire cette petite), marcher le soir en été sur le sable du Pouldu (tu trouveras jamais où c’est) quand il est encore tiède, les mecs qui jouent de la guitare, l’arrosoir du batiment N, la Tunisie, l’Italie, les agents immobiliers de Romainville, les videoclubbeurs de Savigny sur Orge, les rollerboys du quai de St Michel, Gaspard Ulliel, Francis Lalanne, Julien Doré, Cali, Phoenix, Air, RODOLPHE, les petits cons nonchalents (pourquoi ? jsaurais pas t’expliquer), FRANCK DUBOSC (et son accolyte Stephane Rousseau qui n’est pas des plus dégueu depuis qu’il s’est laissé pousser les cheveux), me faire un Starbucks à 10h du soir le vendredi dans un coin sympa de Paris, le thé à la menthe, chanter sous ma douche, danser toute seule, ROMAIN DURIS, aller au ciné…
Je déteste : les poufiasses, Jennifer, Pimkie (les 3 vont ensemble, c’est un pléonasme), les mecs qui portent des casquettes TN (c’est rédibitoires), les mecs qui portent des joggings (encore pire s’ils le mettent dans leurs chaussettes, alors là ils sont foutus pour le restant de leur vie), les mecs moches (dsl moi je peux pas voir de beauté intérieure chez un mec chim), les mecs qui portent des costumes TEX (je parle pas du prix que ça coute, je parle de l’allure que ça donne, il sont trop mal coupés), l’ENC Bessières, les beaufs, le foot, les cyclistes, le trop plein de gel dans les cheveux, les poils (en particulier dans le dos…), l’odeur de la transpiration, quand mes cheveux sentent la clope, les moustiques qui bzibzitent quand tu tentes de t’endormir, les racistes du PSB, E.T, les radins, les gens qui se moquent des ringards et qui ne prennent pas conscience qu’eux mêmes ils font partie du lot , l’odeur du métro sur la ligne 11, les punaises, le bruit de la pluie sur mon velux, les gens qui puent des cheveux, les vieilles connes, coiffer Zabou, ne pas trouver le sommeil, ceux qui ne savent pas écrire mon prénom, les cours par correspondance, mon nez, les gens qui ne disent jamais merci …
dimanche 20 juin 2010
J’ai beau avoir passé le cap des 18 ans, j’ai pas changé d’idéaux pour autant (la vache c’est beau comme rime, on dirait du Baudelaire).
Tu vois le mec (Florian qu’il s’appelle) avec le T-Shirt Sex Addict (je trouve ça super romantique en plus), ba j’crois que c’est lui qui m’a fait découvrir la passion enfouie en moi que j’avais pour les roux.
ROUX, je vous aime, vous êtes cette part de moi que je n’ose dévoiler, si t’es roux et que tu mets des slims et des bonnets et que tu fumes d’une manière totalement sexy (parce que moi la clope ça me dérange pas, j’suis pas ce genre de meuf chiante qui gueule dès qu’on allume une cigarette à proximité d’elle) et ben j’crois que tu seras l’homme de ma vie, même si t’es con et inintéressant au possible.
Et je rajouterai que Gaël (le brun) est pour moi, hormis sa bêtise et son inculture (que tu remarqueras en lisant son myspace et surtout ses textes dignes d’un élève de CE1),la perfection (physique) au masculin de la jeunesse française que j’aime.
L’année dernière, quand je regardais l’émission qui les a révélé, je n’imaginais qu’une chose : les deux en même temps… Quoi les deux en même temps ? Ba réfléchis.
Allez salut la compagnie, puis regarde ça si t’aimes te faire des petits plaisirs qui ne coûtent rien.
Et en plus il fait des p’tits trucs acoustiques le Gaga, à défaut de savoir écrire il sait jouer de la guitare.
mardi 15 juin 2010
J’ai été, comme toute bonne merde qui se respecte, une fan incontestée des Kyo (aaaaaaaaaah jette moi des pierres, des cailloux, des parpaings, de la terre glaise, des tomates et que sais-je encore).
Sans doute parce que j’avais été émue en entendant « j’ai longtemps parcouru son corps, effleuré cent fois son visage, j’ai trouvé de l’or et même quelques étoiles en essuyant ses larmes » (p*tain de m*rde je connais encore les paroles, ba arrête c’est beau nan ?! nan je déconne ça pue le caniveau). Bref, je ne sais pas pourquoi, mais hier, j’étais paisiblement dans ma chambre en train de m’adonner à je ne sais plus quelle pratique, lorsque soudain je me suis souvenue que j’avais aimé Benoît, Flo & Co comme on aime le chocolat (surtout Benoît en fait, j’en étais raide dingue, alors qu’il est, il faut bien l’avouer, laid comme un poux sur la tête d’un chauve).
Pour te dire jusqu’où ma fanatitude fut poussée, je suis allée, dans la même journée, me procurer à la Fnac et au Virgin des Champs Elysées (t’sais c’est la grande rue que le monsieur qui est censé être président remonte en décapotable pour saluer ses esclaves et puis y’a un grand truc, une sorte de pont au bout, où soi-disant en dessous y’a un soldat inconnu qu’est enterré, s’il est inconnu j’en vois pas l’intérêt) un triple cd deux titres (attends je te fais une photo pour te prouver) où en fait t’as 3 fois la même chanson mais le cd est dans des couleurs différentes, et pour remplir le boîtier, il fallait acheter les cds séparément.
Qu’à cela ne tienne, du haut de mes 14 ans, j’ai claqué toute ma petite monnaie (ba attends, c’était une édition limitée à 5000 exemplaires, moi au moins je l’ai tu vois, si tu veux je te la revends (ah non, pas question que j’te la donne), ou mieux encore, je la mets sur ebay, je suis sûre que ça fera fureur) pour me les procurer.
Où je veux en venir en te racontant ça ? En fait, je sais pas trop mais on va finir par trouver le débouché, t’inquiètes pas pour ça. Donc oui, j’ai beau réfléchir, je comprends pas comment j’ai pu écouter de la merde en barre telle que celle-ci. J’en venais même à m’énerver du fait qu’ils commençaient à avoir trop de fans. Puis, étant donné que mes frères (y sont toujours là ceux là) se foutaient à mort de ma ganache sachant que j’écoutais ça dans ma chambre comme une folle en transe en récitant les paroles telles des prières, j’ai promis que si un jour je voyais « prends toi en photo avec Kyo dans ce photomaton » je cesserai d’être soumise à ce groupe qui serait devenu trop commercial.
Et ce jour saint est arrivé.
Je l’ai vu, là, sobre et élégante, dans une gare ou dans un supermarché (mes souvenirs sont flous), qui affichait les membres de ce groupe avec un petit carré blanc pour y loger la tête du fan en question. Et j’ai renié à tout jamais Kyo, j’ai eu envie de ch*er sur la machine et d’hurler au monde entier ma colère d’avoir pu consacrer tant de temps et d’argent à des épaves qui ne souhaitaient qu’une chose : se faire des couilles en or sur le dos des pucelles qui les aimaient, le tout en susurrant des paroles victimeuses te menant à faire un blog gotho-dramatique avec du sang partout et des « j’ai envie de me suicider » à la pelle.
Après moult psychothérapies (euh nan je plaisante bien évidemment), je n’ai toujours pas compris comment j’avais pu être attirée vers ce genre de musique foireuse guidée par des mecs qui chantent en live pire que moi dans ma salle de bain quand j’ai décidé de faire un concerto à mon Tahiti douche.
Je voudrais à jamais renier cette période de mon passé. Heureusement, 4 autres mecs sont apparus et ont sauvé ma vie de l’emprise de cette machinerie répugnante : Coldplay. Et j’ai cessé à jamais et pour toujours d’écouter de la merde commerciale (ça mérite bien quelques applaudissements).
dimanche 13 juin 2010
Je crois que là on passe à un niveau hum… comment dirais-je… supérieur.
[*] [*] [*] [*] [*] Je te laisse apprécier ce boul d’enfer
Rebonjour les Special K, il est temps de réagir.
Je tiens à préciser que je ne sais absolument pas qui est ce type, mais que si je le rencontre dans la rue, je n’omettrai pas de lui arracher ses vêtements en prenant soin de ne pas défaire sa crête et bien sûr d’apprécier à foison son bouc (les mots « crête » et « bouc » sont d’une ringardise extrême, mais pourtant, lui ne l’est pas).
jeudi 10 juin 2010
Mon dieu mon dieu mon dieu. Qu’as tu donc fait en ce soir saint du mardi 8 mai 2007, jour férié de surcroit (pourquoi déjà ?). Jour férié qui ne change pas grand chose pour moi puisque dans mon cas présent, c’est férié tous les jours (youpiii, moyenne de l’heure de mes levées : 13h30 cette semaine, je pète tous mes records, et encore maman si t’avais pas passé l’aspi et que tu t’étais pas séchée les cheveux sachant que la salle de bain est à 2 mètres de ma nouvelle chambre et où les murs de cet appart’ sont en cartons, j’aurais poussé la frontière jusqu’à au moins 14h30, heure beaucoup plus raisonnable).
Hum bref, qu’étais-je en train de dire avant cette interruption volontaire de grossesse, heu non pardon, d’article ? Oui donc comme tout bon mardi soir qui se respecte, je me dois de regarder Marc-Olivier Fogiel, je me permettrai même de dire Marco (j’le kiffe grave ce type, et c’est pas ironique pour un sou, je le trouve super bon présentateur, j’aime ses invités, j’aime Fabrice Eboué (d’ailleurs j’tiens à lui dire que même s’il est un peu enveloppé, il a une ouverture avec moi) et ses p’tites boutades sur les guests, en gros j’aime tout et j’aime lire les sms qui parlent de politique, surtout quand il s’agit de monsieur le président et de ses vacances pré-prise de pouvoir). Donc ce soir, en exclu, qui vois-je apparaître sur le plateau de « T’empêche tout le monde de dormir » ? (- putain margaaaaux baisse le son -ouahou elle porte bien son nom c’t'émission, tu ne trouves pas ?) Je vous le demande ??? Eh bien oui, Mesdames, Mesdemoiselles en chaleur autant que moi, je vois apparaître Bixente Lizarazu.
Au premier abord, [Bichèneté], c’est un nain qui a gagné la coupe du monde en 1-9-9-8. Et bien non, Bixente le bien nommé c’est bien plus que ça. C’est une ode à la bogossité. C’est des cheveux longs et une barbe de 45 jours qui pousse mon excitation à son apogée. C’est un p’tit T-shirt moulant trop fafash, c’est une main dans les cheveux qui te fait retirer ta culotte (euh.. nan en fait j’suis allée me mettre en pyjama pendant la pub c’est pour ça). Bixente c’est l’assent du Sud, Bixente c’est le bronzage comme on ne le connaît plus en région parisienne, à moins de se faire bruler sous UV. Bixente c’est hot saucisse comme le dirait Vincent Elbaz dans le Péril Jeune.
Bixente il m’a grave fait kiffer sa race, même que pendant un moment j’suis allée aux toilettes (nan mais pour faire un petit pipi quoi, moi j’suis pas le genre de fille qui fait la grosse comission) et ma mère est allée devant la télé histoire de voir ce que je regardais, et là, alors que l’appart’ fait 60m² à tout casser, elle a hurlé « margaaaaaux y’a un bo goss chez Fogiel, viens vite me dire qui c’est je me souviens plus de son nom« . J’arrive en trombe, à peine le temps de tirer la chasse, et sans même qu’elle me montre qui était le dit BG, je lui fais « tu me parlerais pas par hasard de Bixente ? Bixente Lizarazu ? ». « Ah mais si c’est ça, punaise qu’est qu’il est beau gosse, je me souvenais pas qu’il était comme ça (moi non plus d’ailleurs), il sort pas avec Elsa ? » me dit ma mamoune (avec ma mère on engage beaucoup de conversations sur des sujets de société fort passionnants). Et moi de lui répondre « si si, la coquine« .
Et bien détrompe-toi jeune éphèbe, après avoir sauté sur mon pc pour faire quelques recherches en son honneur (pas de mon pc mais de Liza), j’ai appris que monsieur avait monté la barre (beaucoup) plus haut, il sort désormais avec (la bien bonne) Claire Keim. Quelle ne fut pas ma déception !
Car oui, toi qui t’intéresses à ma vie de bohème nue sur la plage abandonnée entourée d’un harem de 58 hommes torse poil qui rêvent de mon corps H24, sache que lorsque j’étais âgée d’à peine 13 ans (et c’est son apparition de ce soir qui me l’a remémorée) j’ai rêvé que [Bichèneté] était mon mec à moi, rien qu’à moi, et qu’il me faisait visiter le pays Basque dans une voiture de 5 mètres de haut (pourquoi, j’sais pas) en me prononçant des mots doux et en jouant au foot. (véridique, je n’ai rien inventé, même que quand je me suis réveillée cette nuit là, j’en étais toute retournée et il a marqué ma vie à jamais).
Ce que je ne savais pas, c’est qu’étant déjà retournée par la grâce de Liza à cette époque, il deviendrait une putain de pure bombe sexuelle barbue chevelue.
Bixente, si tu m’écoutes, après avoir épuisé Gaspard jusqu’à la moelle, je compte te donner RDV incessament sous peu dans mon lit, certes pas très grand mais 2 places quand même. Et surtout pouvoir frotter mes joues sur ta barbe comme dans la pub Nivea d’autrefois.
Par contre je tiens à te dire que j’approche des 1.74m, je veillerai donc à ne pas mettre de talons dans nos sorties mondaines afin que tu n’aies pas à te mettre sur la pointe des pieds pour me bisouter devant les photographes. (1.69m c’est p’tit tout de même).
Trêve de bavardage, j’ai à faire, t’as vu l’heure ? Je risque de me lever à 15h00 demain, c’est tôt nan ? Ca va faire plaisir à Nicolas.
samedi 5 juin 2010
27 nov
me
En sortant un peu de mon trou ce week-end en l’honneur du 1er mai, et en quittant l’Ile de France (chose que je n’avais pas fait depuis août 2005), j’ai pris conscience d’une chose et je peux désormais répondre à la question « pourquoi voues-tu un culte si GRAND à Paris ? ».
Tout d’abord parce que je suis née en région parisienne, à Versailles plus précisément (et ça, ça fait plaisir sur la carte d’identité). J’ai vécu mes trois premières années à Fontenay-Le-Fleury, dans les Yvelines, dans un appartement en HLM (tu le crois ça) en face de la gare et j’peux te dire que c’était un 4* contrairement à ce que c’est devenu maintenant. Ensuite, je me suis un peu éloignée mais toujours dans un rayon raisonnable de Paris, à 75 km environ, dans un petit village de l’Essonne où je possède une maison depuis maintenant 15 ans. Pour des raisons qui ne nous regardent pas, mes parents ont fini par se séparer (comme pratiquement tous les parents aujourd’hui…). J’ai donc suivi ma mère à Morsang Sur Orge, encore dans l’Essonne, mais cette fois-ci à 20 minutes de notre magnifique capitale. J’ai donc à ce moment là commencé à faire des excursions régulières sur Paname et je suis devenue l’une de ses plus grandes fans et admiratrices. Ma mère voulant se rapprocher de son travail, nous habitons désormais dans le 9-3 (pas pour mon plus grand plaisir, mais ça a finit par me convenir), ou la Seine Saint Denis pour les connaisseurs, dans la charmante bourgade de Noisy-Le-Sec, à 15 minutes chrono de la gare St Lazare, en omettant pas auparavant d’avoir passé 6 mois dans un cabanon insalubre dans la ville atroce qu’est Romainville.
Bref, je ne pense pas que l’historique de mes déménagements vous ait totalement passionné, mais le fait est qu’il me sert d’introduction pour la fameuse question de mon amour et ma passion pour Paris. Si j’aime tant cette ville, c’est tout d’abord parce que je m’y sens bien et chez moi.
Ensuite, à Paris, peu importe l’heure, le jour, la saison, si tu t’emmerdes, tu trouveras toujours quelque chose à faire et toujours des gens dans les rues. Si tu as faim à 16h, tu trouveras toujours un resto ouvert, si tu veux aller voir un film, tu n’es pas obligé d’attendre 3 semaines après sa sortie que ton cinéma daigne enfin le passer, car à Paris, dans la même rue, tu as 5 cinéma qui ont 10 salles chacun.
Paris, c’est animé H24, c’est beau, c’est joyeux, c’est passionnant, c’est grand, c’est varié.
A Paris, tu as deux H&M dans la même rue. A Paris tu passes inaperçu quelque soit la tenue que tu portes (et ça par contre, c’est bien dommage) car on est pratiquement toutes et tous sapés pareil.
A Paris y’a plein de monde, c’est pas une ville morte où les gens sont couchés et les lumières éteintes à 22h. A Paris y’a plus de beaux gosses que n’importe où ailleurs, ou du moins j’arrive toujours à me rincer l’œil quand j’en ai envie.
A Paris y’a le métro, le tram, le bus, le RER. Y’a un Starbucks à tous les coins de rue.
A Paris ça pue pas la marée.
A Paris y’a trop de mendiants et de clodos mais ça, c’est la vie. Va dans le 16e, y’en a un à chaque boulangerie.
A Paris y’a la tour Eiffel, y’a Montmartre, y’a les Champs, l’avenue Foch, y’a Montparnasse, y’a la Seine, y’a trop de salles de concert, y’a Chatelet, y’a trop de boutiques fraîches, y’a trop de gens stylés. Y’a le boulevard Bonne Nouvelle, y’a St Michel, St Germain, y’a la Rue de Rennes, y’a Pigalle et il y a surtout RIVOLI. Il y a tous ces parcs immenses tels que les Buttes Chaumont, Montceau, les Tuileries ou encore Montsouris. Y’a trop de boites que je me languis de tester.
Y’a trop de coins où j’ai traîné mais qui n’ont pas de noms et où on est obligés de se sentir bien.
A Paris tu croises des gens connus au hasard de tes promenades. A Paris tu t’fais plaisir même sous la pluie. A Paris t’as des vieux gars qui tentent de te draguer, qui tentent seulement mais qui y arrivent pas forcément.
A Paris il y a tous les appartements de mes rêves, qui appartiennent à des gens beaucoup trop riches que je jalouse au plus haut point.
A Paris il y a ma future vie, mon futur studio (dream dream dream) et sans doute le futur homme de ma vie qui ne le sait pas encore (et moi non plus d’ailleurs). A Paris il y a … moi.
Et j’ai aucune envie d’aller voir ailleurs si j’y suis.
jeudi 3 juin 2010
En espérant que tu ne me manges pas mes grosses joues comme tu as si bien su le faire dans ton rôle d’Hannibal, moi je n’ai pas mangé de Mischa donc fais moi confiance, on s’amusera comme des p’tits fous et même que si t’es gentil et que tu remets ton costume blanc que tu avais à je ne sais plus quelle cérémonie, je perdrai 10 kg et je serai sans doute (même si c’est déjà le cas) la fille la plus charmante de tout le comté du plessis (petite bourgade de l’essonne, venez passer vos vacances là bas, on y est très bien reçu, malgré le fait qu’il n’y ait ni commerce, ni hôtel ni quoi que ce soit si ce n’est une mare aux canards et une margaux ultra sexy qui fait du vélo en slim et ballerines sur son B’Twin de beauf).
Sur ce mon petit Gaga d’amour (oui je me permets, je t’ai vu dans tes débuts où tu n’étais qu’un petit ado qui embrassait Mélanie Laurent dans les dunes) pense à moi (comme je t’aime, et tu me délivreras, merci Lalanne) et surtout au potentiel que je pourrais avoir à devenir ta femme ou même ta « meuf », ça me comblerait amplement.
Tu me laisseras toucher ta cicatrice silteplé ? (j’aimerais atteindre l’extase à l’état pur sans avoir à utiliser d’Herbal Essence)
Un petit p.s à ton attention car je suis très généreuse : je t’ai écrit une chanson (je dois avouer que j’ai été beaucoup aidée du groupe Tahiti 80 que je salue au passage pour son fair play) qui, je pense, correspond bien à notre situation actuelle (du moins à la mienne), tu verras si tu comprends l’anglais, je l’ai intitulée 1000 times. De plus, c’est une version accoustique car j’aime la guitare, je trouve ça follement excitant. Elle n’est pas parfaite, car je n’aime pas ce qui est parfait, à l’image de ta cicatrice. Dis moi ce que t’en penses, j’y ai mis tout mon coeur.